Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (5/5) : S'engager et donner une voix aux oubliés
Ne pas oublier les massacres du 17 octobre 1961, s'intéresser aux sans-abris sous le viaduc, donner une voix aux engagés dans le Djihad, critiquer le ...Actualités similaires
Articles similaires à Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (5/5) : S'engager et donner une voix aux oubliés
Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (5/5) : S'engager et donner une voix aux oubliés
Ne pas oublier les massacres du 17 octobre 1961, s'intéresser aux sans-abris sous le viaduc, donner une voix aux engagés dans le Djihad, critiquer le ...Actualités similaires
Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (4/5) : La chambre à soi, une occupation de l'espace domestique
Ecrire comme on range un placard, sortir sans dire où l'on va, travailler sans relâche, dire la vie des femmes, leur espace domestique, la violence qu'on leur ...Actualités similaires
Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (3/5) : Traverser la Méditerranée et militer au MLF
Oublier la violence et l'Algérie à tout prix, rencontrer la liberté et la jeunesse universitaire, s'évader par le cinéma, comprendre la colonisation et ses ...Actualités similaires
Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (2/5) : Grandir pendant la guerre, les silences du père
Entendre les tirs et les cris dans la montagne, observer les jeunes soldats français rire fort, si beaux dans leurs uniformes, assister à l'arrestation de son ...Leïla Sebbar, l'écriture de l'exil comme pays (1/5) : Boucle d'Or en Algérie, ou la fille de la roumia
Naître en Algérie d'un père algérien et d'une mère française, tous deux instituteurs, apprendre à écrire les prénoms des bonnes de la maison, Fatima et ...Actualités similaires
• Sources :
• Mots clés :
• Participer :
• Suivre l'actualité :
BACK TO TOP
